Un nouveau projet de territoire mais qu’est-ce qui change par rapport à celui de 2014 ?
La méthode d’élaboration et le contenu.
Sur la méthode :
– un projet élaboré, « façonné », par une équipe pluridisciplinaire (24 personnes) engageant l’ensemble des services de l’agglomération et des représentants de la société civile via le CESE. La réalisation du précédent projet de territoire s’était constituée autour de plusieurs ateliers thématiques mais n’avait pas réuni les acteurs sur un cycle de travail aussi complet (en mode projet) ;
– une animation partagée entre l’agglo et le CESE afin d’assurer une connexion avec la société civile dès la conception du projet. Pour le précédent projet de territoire, un bureau d’études extérieur avait été sollicité ;
– un projet volontairement participatif dans son écriture comme dans sa mise en œuvre afin d’associer le plus grand nombre d’acteurs publics et privés à sa réussite ;
– un projet qui veut mobiliser les porteurs de projets de la société civile pour démultiplier l’action publique ;
– un projet invitant l’agglomération à devenir animatrice dans tous les domaines qui constituent des enjeux pour notre territoire.
Sur le contenu :
des contenus bien plus larges que les strictes compétences de l’agglomération et reflétant la réalité des besoins identifiés dans le diagnostic du territoire ;
un contenu riche (4 axes/8 enjeux/+ 300 actions) se traduisant dans l’écriture de deux volets :
– un volet « public » destiné à négocier les contrats de territoire et de ruralité ;
– un volet « privé » destiné à mobiliser les porteurs de projets privés ;
– un projet nous invitant à prendre en main notre développement : nous agglo et nous société civile ;
– un projet comportant une ambition renouvelée en termes de développement économique, touristique et de qualification du cadre de vie. Un projet nous invitant également à innover : inventer de nouveaux outils financiers, créer des lieux innovants et fédérateurs, mettre au point des stratégies, déployer notre nouvelle image… ;
– un projet laissant une place importante aux notions de transition avec l’apparition d’un axe complémentaire dédié : susciter et accompagner la transition énergétique, la mutation écologique de notre économie et les changements de mode de vie de nos concitoyens.